A l’arrêt de la phase à chaud, Antonio Sestu, un ancien de Clabecq, continue inlassablement son travail de sauvegarde du patrimoine lié à l’usine. Mais que faire de ces milliers de documents et surtout, à qui les confier? Le conservateur général aux Archives du Royaume charge alors une jeune employée de sauver le fond d’archives des Forges. Pendant plusieurs semaines, Antonio pilotera cette jeune archiviste dans les méandres et les arcannes de l’usine. Plusieurs centaines de mètres d’archives linéaires seront ainsi sauvées des aléas de l’histoire tumultueuse du site. Administratives pour la plupart, ces archives sont la mémoire profonde des Forges. Madeleine Jacquemin nous lève un coin du voile en attendant la publication de sa thèse de Doctorat en 2013 : bienvenue aux AGR!
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